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Le passage de Taine auquel Heidegger fait allusion se trouve dans la
Philosophie de l'art, 13e édition, Paris. Hachette. 1909, p. 12. Le
voici : « Mon seul devoir est de vous exposer des faits et de vous
montrer comment ces faits se sont produits. La méthode moderne que je
tache de suivre, et qui commence à s'introduire dans toutes les
sciences morales, consiste à considérer les œuvres humaines, et en
particulier les oeuvres d'art, comme des faits et des produits dont il
faut marquer les caractères et chercher les causes; rien de plus.
Ainsi comprise la science ne proscrit ni ne pardonne: elle constate et
explique ». - Dans une lettre à sa femme Elfride du 11 août 1936,
Heidegger lui demande de chercher l'ouvrage dans la bibliothèque de la
maison de Fribourg et de l'envoyer à la Halle (M. Heidegger, « Mein
liebes Seelchen! ». Briefe Martin Heideggers an seine Frau Elfride,
1915 - 1970, hg. von Gertrud Heidegger, Munich, Deutsche
Verlags-Anstalt, 2005. p. 192). Je remercie Jean-François Courtine
pour m'avoir signalé le passage de Taine.
Source:
Franco Volpi, La grammaire et l'étymologie du mot être in: J-Fr. Courtine (ed.), L'introduction á la metaphysique de Heidegger (Vrin), p.136
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So, it refers to Taine, Philosophie de l'art, p. 12 google books:
Mon seul devoir est de vous exposer des faits et de vous
montrer comment ces faits se sont produits. La méthode moderne que je
tache de suivre, et qui commence à s'introduire dans toutes les
sciences morales, consiste à considérer les œuvres humaines, et en
particulier les oeuvres d'art, comme des faits et des produits dont il
faut marquer les caractères et chercher les causes; rien de plus.
Ainsi comprise la science ne proscrit ni ne pardonne: elle constate et
explique.
The phrase he uses for 'and nothing more' is 'rien de plus'.